La paire GBP/USD suit une ligne de tendance baissière à court terme

La paire GBP/USD a clôturé avec quelques gains sur le forex ce lundi, restant dans le nuage Ichimoku et en dessous de la ligne descendante tirée du sommet de neuf mois à 1.3380.

Le RSI et le MACD ont tous les deux fait des efforts pour sortir du territoire baissier. Le premier s’est renversé vers la barre neutre de 50 et le second a atténué son élan négatif au-dessus de sa ligne de signal. Bien que ces tentatives offrent un certain optimisme, elles ne sont pas encore suffisantes pour soutenir de solides perspectives positives pour les échanges à court terme.

Une forte reprise au-dessus de 1,3150 pourraient encourager davantage d’achats sur le marché. En remontant plus haut, une clôture au-dessus du sommet du 25 janvier à 1,3216 augmenterait la confiance à l’égard de la tendance ascendante amorcée à partir du creux de 1,2475 qui a perdu de son éclat après la vente en dessous du sommet de 1,3380. Si le cours de la paire GBP/USD transperce aussi le niveau de 1.3300, les acheteurs devront battre un mur plus haut entre 1.3380 et 1.3460.

gbp/usd forex 16042019

En revanche, la moyenne mobile de 200 jours actuellement à 1,2964 pourrait être le point de départ d’une forte baisse qui pourrait s’interrompre initialement autour de 1,2929 (Fibonacci 50%) avant de s’étendre vers le creux de 1,2777.

Parallèlement, à moyen terme, la paire GBP/USD reste optimiste tant que le marché continue se négocier au-dessus du creux de 1,2959. Un pas décisif en dessous de cette marque violerait la tendance à la hausse entamée à partir du bas de 1.2475.

En résumé, la paire GBP/USD fait face à un biais neutre sur le forex à court terme, tandis qu’à moyen terme, la paire se maintient positive au-dessus de 1,2959.

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par Christina ParthenidouXM Investment Research Desk

Christina a rejoint le département de recherche d’investissement de XM en mai 2017. Elle est titulaire d’une maîtrise en économie et commerce de l’Université Erasmus de Rotterdam avec une spécialisation en économie internationale. Auparavant, elle a obtenu un baccalauréat en sciences économiques de l’Université de Chypre. Outre les marchés des changes, ses intérêts de recherche incluent l’impact du commerce international sur les marchés du travail et le développement de produits.

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